Adieu 2020 et bon débarras j’aurai envie de dire. Cependant, en réalité, cette année aura été une année très particulière pour moi mais aussi pour vous et pour une bonne partie de la population. Corona Virus, confinements, couvre-feus, fermetures des écoles, des restaurants, des bars des lieux socioculturels et télétravail ont jalonné cette année bizarre. Aujourd’hui, je ressens le besoin de faire un bilan et de dire adieu 2020.
Mes humeurs
Elle était « ma personne ». Si tu regarde la série Grey’s Anatomy tu vois surement de quoi je parle. Pour les autres, cela veut dire qu’elle était la première personne à qui je disais tout. La première personne que j’appelais pour annoncer une nouvelle. Mais aussi la première vers qui je me tournais pour pleurer. Elle était ma personne mais elle ne l’est plus et je suis (enfin) prête à en parler.
En ce moment je suis dans une grande tourmente. Je me sens perdue. J’ai envie de me mettre dans ma bulle, seule. Mais je suis sollicitée de toutes parts. Les enfants, l’homme, les blogs, les mails, la vie. Mais je me sens complètement ailleurs. Jamais vraiment à ce que je fais. Je traverse une de ces phases de grande tourmente. Pénible mais nécessaire. Un peu comme le « terrible two » de nos petits qui les rende difficiles à comprendre mais qui est tellement nécessaire et bénéfique à leur évolution. Je dois donc accepter cette phase. Mais ce n’est pas évident.
La compétition entre mères est la compétition la plus féroce que j’ai jamais connu. En entrant de le monde de la parentalité et encore plus dans celui de la blogosphère, je ne pensais pas entrer dans une telle arène! Mais pourquoi les mères se sentent elles tellement en compétition les unes avec les autres? D’où cela vient-il? Est-ce une mauvaise chose? Comment agir autrement?
Demain, dimanche 23 avril 2017, je n’irai pas voter. Je n’ai d’ailleurs jamais voté de ma vie. Jusqu’à maintenant cela ne m’a jamais dérangé. Est-ce que cela va changer? Je ne le pense pas tout de suite et je vais vous dire pourquoi. Néanmoins, je vous encourage fortement à y aller vous. Un peu hypocrite comme conseil non? Et pourtant, si j’étais à votre place, moi j’irai voter. Je vous explique pourquoi.
Il y a quelques temps j’avais écrit ce premier article pour vous expliquer pourquoi un tel silence radio pendant presque 6 mois. Comme je vous l’expliquais, après notre départ dans le Nord, les choses sont allées de mal en pis. Cela a commencé par mes nausées puis par l’hospitalisation et l’opération de MiniNous. Dans cette deuxième partie, je vous raconte la suite de l’histoire, peut être moins grave mais tout aussi morose. Je vous rassure, tout se termine bien surtout depuis notre retour dans la Drôme!
6 mois que je n’avais pas écrit sur le blog. Pour tout vous dire je n’en avais plus envie, plus le courage, plus le plaisir. Alors je ne me suis pas forcée. De toute façon a qui le devais-je? A personne, pas même à moi. Quoique si, je le devais à différents partenaires que j’ai lamentablement laissé tombé. Je n’en suis pas fière et j’espère un jour me rattraper. J’avais mes raisons pour arrêter d’écrire. Des bonnes? Je ne sais pas. En tout cas assez fortes pour me détourner de mon jardin secret, de mon défouloir, d’une énorme partie de ma vie depuis deux ans. Voici ce qui s’est passé et voilà pourquoi je reviens. Cela commence par un séjour horrible à l’hôpital.
Tout le monde a des rêves. Moi la première. Mais qui ose vraiment les réaliser? Au final pas grand monde. On se dit que c’est impossible, trop difficile, voir utopiste. On se résigne à vivre comme tout le monde. Grandir, aller à l’école, passer un diplôme, trouver du travail trouver un appartement, fonder une famille, travailler du matin au soir de janvier à décembre jusqu’à la retraite. Nos seules joies sont les quelques vacances que nous arrivons difficilement à nous payer. On essaye d’oublier notre train train quotidien en s’abrutissant devant la télé ou allant faire du shopping pour passer le temps.
Image d’Aurore de CreaKiwi
Si vous me suivez depuis un petit moment vous savez que je suis depuis quelque temps au chômage. Donc activement en recherche d’emploi. Après avoir postulé à des dizaines d’offres, puis après avoir envoyé des dizaines de candidatures spontanées, j’ai décidé de tenter une autre approche: passer un concours de la fonction publique. Mise à jour: Aujourd’hui j’ai enfin trouvé mon Ikigai.